Avec 1 991 770 voix (soit 54,97 % des suffrages), la coalition dirigée par Ousmane Sonko s'impose largement au Parlement, obtenant par ailleurs 29 sièges à la proportionnelle. Toutefois, l'un des événements marquants de cette installation reste la décision de l'ex-président Macky Sall de renoncer à son mandat de député dès l'ouverture de la session, malgré le fait qu'il ait mené la coalition Takku Wallu Sénégal, arrivée en deuxième position avec 16 sièges.

D'autres formations, telles que Jàmm Ak Njariñ d'Amadou Ba (7 sièges) et Sàmm Sa Kaddu de Barthélémy Dias (3 sièges), occupent les sièges restants, tandis que plusieurs coalitions se partagent les 8 dernières places avec un siège chacune.

Sous la majorité absolue du PASTEF, cette législature débute avec de fortes attentes populaires, appelant à des députés plus engagés dans la défense des intérêts citoyens et un contrôle démocratique renforcé. Les débats à venir s'annoncent cruciaux pour l'avenir du Sénégal, entre soutien aux réformes du président et défis posés par l'opposition.

source gfm.

Powered by Froala Editor