Cette démarche fait suite à la décision de la CAF d'écarter l’ancien footballeur de cette élection en raison de violations éthiques. Une remise en question de cette décision pourrait avoir des répercussions importantes sur les élections prévues en mars. La CAF a justifié son choix par des manquements aux règles éthiques, notamment en raison du partenariat de Samuel Eto’o avec la société de paris en ligne 1xBet, jugé en violation des principes de fair-play de la FIFA. De plus, son passé judiciaire a joué un rôle dans cette décision : en 2022, Eto’o avait été condamné à 22 mois de prison avec sursis en Espagne pour fraude fiscale, une condamnation ayant terni son image au sein des instances dirigeantes du football mondial.

Eto’o n'est pas le seul à contester son exclusion. Jean-Guy Blaise Mayolas, du Congo, et MacLean Letshwiti, du Botswana, ont également déposé des recours. Mayolas a été écarté en raison d’une suspension de six mois infligée par la FIFA en 2015, tandis que Letshwiti n’a pas pu obtenir le soutien de sa fédération pour se présenter.

Source wiwsport

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